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PLUS D’INFORMATIONS ET PHOTOS |
ARCHEOLOGIE ET GORGES D’OLDUVAI |
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Aujourd’hui les visiteurs découvrent dans le site des Gorges d’Olduvaï (ou Oldupaï, selon le nom maasaï) un canyon aride, drainant pendant la saison humide les eaux des lacs Ndutu et Masek vers la dépression Olbalbal. Et pourtant il y a plusieurs millions d’années la région était un vaste lac alcalin. Les eaux de cet ancien lac formèrent des couches de sédiments qui ont livré des éléments d’un intérêt anthropologique et archéologique d’une grande valeur. Dans les années 1930 Louis et Mary Leakey ont commencé des recherches sur la région et ont mis à jour des vestiges de plus de soixante hominidés prouvant le développement de la taille du cerveau. La découverte la plus notable fut celle par Mary Leakey d’un crâne d’Australopithecus boisei le «ZINJANTHROPE». A Laetoli Mary Leakey a découvert des empreintes de pas d’hominoïdes datant de 3,6 millions d’années, traces des premiers Australopithecus aphaeresis se tenant debout. Un moulage de ces empreintes, ainsi que des fossiles de plusieurs espèces et des outils retrouvés pendant les fouilles sont exposés au musée d’Olduvaï. Les recherches continuent et permettent d’exhumer des restes fossilisés, également d’animaux et de plantes. Le musée présente des expositions et des ouvrages, et il est possible d’organiser en même temps une visite de la zone. |
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| DUNES DE SABLE EN MOUVEMENT |
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A quelques kilomètres du musée d’Olduvaï, on peut constater l’étonnant phénomène connu sous le nom de “Dunes en mouvement”. En effet deux de ces dunes présentent un lent déplacement dû à l’action du vent. Le fin sable noir d’origine volcanique est en permanence en mouvement, et la surface de ces dunes paraît glisser constamment. Des marqueurs permettent de se faire une idée de ce déplacement, qui semble être de l’ordre de 50 mètres par an. |
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| LES MAASAI DANS LA NGORONGORO CONSERVATION AREA |
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Les éleveurs Maasaï arrivèrent dans la Ngorongoro Conservation Area il y a quelques centaines d’années. Leur attachement viscéral à leurs traditions et à leur mode de vie leur permet de vivre en harmonie avec la faune et l’environnement. Aujourd’hui ils sont environ 52 000 à vivre avec leur bétail (vaches, chèvres et moutons) dans la Ngorongoro Conservation Area. Leur mode de vie est semi-nomade car ce peuple de bergers doit se déplacer à la recherche de pâturages abondants et de points d’eau. Leurs habitations saisonnières sont regroupées en Bomas que l’on peut visiter pour s’imprégner de la culture Maasaï. Ce tourisme leur permet donc de faire partager leurs valeurs et est également une source d’enrichissement substantiel. |
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